Entre souffle, présence et conscience, la sophrologie ne cherche pas à contrôler le mental, mais à réconcilier l’être avec lui-même.
Par le corps. Par la vie. Par l’instant.
Créée dans les années 1960 par le neuropsychiatre Alfonso Caycedo, la sophrologie avait pour ambition d’intégrer le corps à la conscience. Son but : aider chacun à mieux vivre, traverser les étapes de sa vie et se relier à son intériorité.
À la croisée de l’Orient et de l’Occident, elle conjugue rigueur clinique et traditions contemplatives. Respiration, conscience corporelle et visualisation positive s’unissent pour proposer une méthode globale.
Mais loin d’être une simple relaxation, la sophrologie est avant tout une pédagogie de l’être. Elle invite à habiter son existence plus justement, dans l’ici et maintenant.
Ce qui rend la sophrologie si précieuse, c’est sa simplicité. Concrète, adaptable, elle ne demande aucun prérequis ni posture complexe.
Une séance peut se vivre debout, assis, les yeux ouverts ou fermés. Elle s’adresse à tous les âges, à tous les corps, à toutes les histoires. C’est une porte ouverte vers l’expérience intérieure, chacun avançant selon son rythme.
Dans un monde qui sollicite sans cesse notre attention, la sophrologie propose une pause. Un retour à soi. Respirer. Sentir. S’ancrer.
Grâce à des pratiques douces et structurées, on apprend à :
⊕ La sophrologie ne cherche pas à “détendre”, mais à révéler une présence en soi. ⊕
Séance après séance, le corps devient un espace de ressourcement. On apprend à identifier tensions, émotions et besoins.
Le corps cesse d’être un obstacle ou un messager ignoré. Il devient un allié, un partenaire, une boussole.
Cette transformation agit en profondeur :
En tant que psychopraticienne, je n’applique jamais la sophrologie comme une simple technique. Elle est un fil vivant, que je tisse avec vous selon vos besoins.
Elle peut être une entrée dans le chemin intérieur quand la parole ne vient pas encore. Elle peut aussi accompagner une psychothérapie, en offrant au corps un appui aux transformations en jeu.
⊕ J’y recours également pour accompagner le deuil, la fatigue, l’anxiété ou les transitions de vie. ⊕
Parce qu’elle ne force rien, parce qu’elle passe par le corps, la sophrologie agit là où les mots parfois échouent. Elle rétablit des circulations interrompues, réveille la vitalité et offre un espace sûr pour se retrouver.
Ce n’est pas une recette miracle. Mais c’est un outil fidèle et soutenant, un chemin vers soi, pas à pas.
Et si vous commenciez par… respirer ? Fermez les yeux. Sentez votre respiration. Vos appuis. Votre axe. Ce n’est pas “rien”. C’est le début de quelque chose.
Vous souhaitez expérimenter par vous-même ce chemin d’ancrage et de présence ?
Retrouvez ma présentation complète de la pratique, ses fondements et ses accompagnements possibles sur la page dédiée. En savoir plus sur la sophrologie
Non. La sophrologie va au-delà de la détente. Elle propose une véritable pédagogie de l’être, une manière d’habiter son existence dans la présence et la conscience.
À tous. Elle ne demande aucun prérequis et peut être pratiquée debout ou assis, yeux ouverts ou fermés. Elle s’adresse aux enfants, adolescents, adultes et personnes âgées.
Elle aide à mieux gérer le stress, les émotions et la fatigue. Elle renforce l’énergie vitale, restaure le lien au corps et soutient les transitions de vie.
Bien à vous,
Rachel... Sur les Chemins de VITRIOL