Un espace pour que l’enfant puisse "se dire" au delà des mots

Chez l’enfant, le mal-être ne se manifeste pas toujours par des mots.

Il peut surgir sous forme de colères, de pleurs inexpliqués, de troubles du sommeil, de repli ou d’agitation

Parfois, c’est l’école qui alerte. Parfois, c’est une intuition parentale : « quelque chose ne va pas ».

Dans la phase △ Rectifier des Chemins de VITRIOL, je propose un espace d’accueil symbolique et / ou verbal, à son rythme.

C’est un lieu pour déposer ce qui fait confusion ou tension, et mettre du sens sur ce qui cherche à émerger en lui, dans un cadre sécurisant, ludique et respectueux de son monde intérieur.

En savoir plus

À qui s’adresse cet accompagnement ?

À l’enfant traversant un changement, une séparation, un deuil, une arrivée (fratrie, école…), en cas de symptômes persistants : peurs, cauchemars, énurésie, somatisations, tristesse, crises de colère, quand les émotions débordent, ou qu’au contraire tout se referme, pour tout enfant sensible, inquiet, en conflit avec ses repères ou son entourage

Offrir un cadre stable et rassurant

La régularité des séances, le lieu neutre, la présence constante d’un adulte bienveillant créent une base de sécurité pour que l’enfant puisse se détendre et s’exprimer.

Soutenir l’expression symbolique

À travers le jeu, le dessin, la parole ou le silence, l’enfant élabore ce qui l’habite. Il transforme peu à peu ce qui fait peur, ce qui fait mal, ce qu’il ne comprend pas encore.

Accompagner sa croissance intérieure

En apprenant à reconnaître ses émotions, à dire ce qu’il ressent, à penser ce qu’il vit, l’enfant renforce son sentiment de sécurité intérieure.

△ Les bienfaits d’un accompagnement psychothérapeutique

Apaiser les symptômes

Le but n’est pas d’éradiquer les comportements, mais de comprendre ce qu’ils signifient et ce qu’ils protègent.

Restaurer le lien entre corps, émotions et parole

Un enfant qui peut dire ce qu’il vit est un enfant qui retrouve de la place, du souffle, et du lien avec son environnement.

Soutenir les parents dans leur rôle

Des temps d’échange réguliers permettent d’ajuster ensemble l’accompagnement, sans jamais psychologiser la relation ni projeter d’interprétation.

Questions fréquentes

Comment savoir si une psychothérapie est indiquée ?

Dès qu’un mal-être persiste, ou que vous avez l’intuition qu’il « se passe quelque chose ». Un premier rendez-vous peut clarifier les choses.

Est-ce que je dois expliquer à mon enfant qu’il va voir une psychopraticienne ?

Oui, mais simplement. On peut lui dire qu’il va rencontrer quelqu’un pour l’aider à se sentir mieux, à comprendre ce qui le gêne. Je peux vous aider à trouver les bons mots.

Est-ce que je suis présent pendant la séance ?

Non. L’enfant est reçu seul, dans un cadre confidentiel. Mais des temps d’échange avec vous sont proposés régulièrement pour faire lien et soutenir la relation parent-enfant.

Combien de temps dure l’accompagnement ?

Cela dépend. Parfois quelques séances suffisent pour débloquer une situation. D’autres fois, un accompagnement plus long est nécessaire. Le rythme se construit ensemble.

Est-ce adapté à tous les âges ?

En général, j’accompagne les enfants à partir de 7 ans, selon leur capacité à s’installer dans un cadre relationnel.
Je suis Rachel Huber et je suis là pour vous aider
Un enfant qui peut être entendu devient un enfant qui peut grandir. La psychothérapie de l’enfant lui offre un espace pour traverser ses tempêtes, renforcer ses appuis intérieurs et trouver ses ressources propres. Découvrez aussi les autres Chemins psychothérapeutiques : adolescent, couple, jungien, psychosomatique…

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Praticienne en psychothérapies, sophrologue, psychosomaticienne
Membre de l'équipe éditoriale de l'Espace Francophone Jungien
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